Avant l’invention de l’imprimerie à caractères mobiles le livre manuscrit était trop fragile et trop unique pour pouvoir efficacement conserver et transmettre le savoir humain. La pierre des monuments, temples et autres édifices était plus appropriée et les scènes et textes qui y étaient gravés ou peints avaient une chance de survie bien supérieure à celle qu’ils auraient eue sur de fragiles parchemins.